La « Bibliothèque Pour Tous » de La Bassée organise une rencontre littéraire avec Marie-Christine Collard et Jacques Messiant. Cet événement se déroulera jeudi 15 mars 2018, à 16 heures, à l’espace Carnot.
Marie-Christine Collard présentera Fugu, quant à Jacques Messiant, ce sera Valentina : Une jeunesse volée. Véritable moment d’échange avec les auteurs, l’après-midi sera également l’occasion de faire dédicacer un livre ou de prendre une photo. Une collation sera offerte aux participants pour clôturer cette journée culturelle.
Marie-Christine Collard – Fugu
Fuir à des milliers de kilomètres, se rapprocher de Kiyo, son ex-petit ami japonais, c’est l’option que prend Caro pour survivre à la révélation brutale d’un secret familial. Mais dans ce Japon dont elle maîtrise la langue sans en connaître les codes, la jeune étudiante lilloise peine à trouver ses repères.
Au cours d’un déjeuner de travail, elle fait la connaissance de Kenji, un Franco-Japonais énigmatique et brillant, élevé dans les pures traditions japonaises. Parce qu’ils partagent un même sentiment d’exclusion et de solitude, l’attirance entre eux est immédiate.
Ignorant les conseils comme les mises en garde, Caro se laisse emporter par la passion et happer par les eaux troubles d’un jeu pervers où chacun avance masqué…
Jacques Messiant – Valentina : Une jeunesse volée
Ce récit historique est inspiré de faits réels qu’a vécus Valentina Nikolaiéva Tichonowa, née à Russko en 1923 en Russie. Elle y coule une jeunesse heureuse, en pleine campagne, le long de la rivière Msta. Puis elle passera son adolescence à établir les fondations de son avenir d’enseignante.
Mais l’opération Barbarossa en 1941, malgré un traité de non agression signé par Hitler avec l’Union soviétique, va bousculer son destin. Valentina, comme ses camarades Lisa et Tamara, sont raflées pour rejoindre un camp de « travailleuses de l’Est » en Allemagne, à Ühingen.
À la libération, elle est face à une terrible alternative : rentrer chez elle retrouver les siens, ses bien-aimés, dont elle est séparée depuis si longtemps ou accepter le déracinement, en suivant à Roubaix, par amour, un prisonnier français qu’elle a connu au stalag.